Archive for the 'lavis' Category

Petite mémoire.


… Mais où avais-je la tête ?
faites moi penser à vous parler d’un truc demain…
. . .
(… Le visage à la fin est de F. par Thomas).

… Expérience.



« Elle tenta par des ruses à sa façon
de me détourner de mes recherches.
Que croyez vous qu’il arriva? »

(inconnu, début du XXIème siècle).

à partir de cette citation et des documents mis à votre disposition vous développerez le sujet et toutes les conséquences qui en découlèrent.

à la boîte ça va, ça vient.


Tu te souviens de cette vidéo bien sûr:
le jeu consiste à les faire fonctionner en même temps
et à me livrer tes impressions.



Je ramasse les copies en fin de soirée.
(Le premier qui me dit qu’il n’entend pas bien et que le son est pourrave…)

Blondinette et Ciragette… Suite en peluche.


A présent que vous connaissez Blondinette et Ciragette
Comment ça, vous ne vous rappelez plus?
(mais si, souvenez vous)
, ,
,ici, elles avaient trouvé une goyave

,et là elles jouaient à la marelle.

Ou encore elles parlaient de Degas

,et là Kodak entrait dans leurs vie

,en fouillant j’ai retrouvé ça aussi (la première prend la quille et la boule, c’est à ça qu’on la reconnait)

,et puis ici, encore sur leurs drôles d’échasses clip-clop

,là (ça vous revient maintenant) elles étaient à la pêche

,et là elles pendaient du linge

et enfin là (suite aux plaintes des voisins, j’avais changé l’avatar du blog).

Vous voyez que vous vous en souvenez maintenant.
Bon! je reprend,
ne m’interrompez plus.
De Rhodésie les parents avaient ramené un ourson en peluche…
Le bébé suivrait sans doute?
Je rappelle au passage que Blondinette est la moins brune des deux.
(çà, j’en suis fier, car je contracte en une seule phrase Marcel Aymé et Alphonse Allais qui sont mes deux chéris d’humour en littérature, je fais un clin d’oeil au passage à ce vieux Desproges qui, s’il vivait encore, aurait ô combien raison de me la jalouser).
Avec tous ces apartés j’ai oublié ce que je voulais vous raconter aujourd’hui…
Peut être que ça me reviendra demain?
ou pas.

« … Et puis quelques Chinois en guise de cousins. »



Après l’ouverture des marchés on les avait vu débarquer,
petit à petit, avec peu de « na-na-des-manières » quant à l’habitat,
s’installant entre quatre murs et deux tôles avec leur petite famille en faisant leurs petits business sans demander son reste à personne.
Entre eux, les expat’ sortaient des blagues douteuses du style « j’nem pas çà », ou « … Vont marcher à la baguette! » et encore « où y a de la Yen , y a pas d’plaisir »…
(Vieux fonds racistes fleurant son « Buck Danny » des années ’50, avec « ces sales faces de citron », etc. Chères à Charlier et Hubinon via les « Jerry Tumbler et Sonny Tuckson réunis ».)
Ma mère, qui n’était pas douée pour les langues, avait le chic pour intégrer la culture du « presque soleil levant » avec force gestes…
Et sabir de swahili (?… Comprenne qui pourra!); toujours est-il que notre nouvelle voisine avait craché le morceau et les recette avec.
La tolérance et le métissage passait par la cuisine.
Et, après tout, on avait appris à en faire… Des nems.
C’était bon!…
Les mômes étaient à croquer.
nota bene: j’en avais déjà parlé ici

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