Archive for the 'dessin' Category

La fuite.

fuite
…il fallait faire vite, les rebelles approchaient, et les secours venaient seulement de partir d’Europe.

L’art et les artistes.

L’art et les artistes ou encore « la toison d’or ».

l’art et les artistes

l’art et les artistes
là je n’y suis pour rien quoiqu’ayant tenté d’en faire, c’est un vrai métier…

l’art et les artistes

l’art et les artistes

l’art et les artistes

l’art et les artistes

l’art et les artistes

l’art et les artistes
contre jour de la « toison d’or ».

l’art et les artistes
Détail du piquage autour de la « toison d’or ».

l’art et les artistes
Détail, monotype de dentelles.

l’art et artistes

des mon(s)tres et prodiges ou encore travaux d’humanisme et renaissance.

Pavot royal et datura s’étaient donnés rendez-vous à l’heure dite pour un petit récapitulatif.
L’inventaire des quelques pauvres petites choses ne serait pas long.
Je n’ai jamais dessiné plus bel envol d’oiseau;
travaux d’humanisme et renaissance en quelque sorte.
Pétale déposé sur mandarin, mon père était-il samouraï?
Je décidai que le deuil avait assez duré.

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges

mon(s)tres et prodiges anim.

je retourne me fiche à l’eau

clic
piscine

« Comme une sœur, tête coupée, tête coupée
Ell’ ressemblait à sa poupée, à sa poupée,
Dans la rivière, elle est venue
Tremper un peu son pied menu, son pied menu.

Par une ruse à ma façon, à ma façon,
Je fais semblant d’être un poisson, d’être un poisson.
Je me déguise en cachalot
Et je me couche au fond de l’eau, au fond de l’eau.

J’ai le bonheur, grâce à ce biais, grâce à ce biais,
De lui croquer un bout de pied, un bout de pied.
Jamais requin n’a, j’en réponds,
Jamais rien goûté d’aussi bon, rien d’aussi bon.

Ell’ m’a puni de ce culot, de ce culot,
En me tenant le bec dans l’eau, le bec dans l’eau.
Et j’ai dû, pour l’apitoyer,
Faire mine de me noyer, de me noyer.

Convaincu’ de m’avoir occis, m’avoir occis,
La voilà qui se radoucit, se radoucit,
Et qui m’embrasse et qui me mord
Pour me ressusciter des morts, citer des morts.

Si c’est le sort qu’il faut subir, qu’il faut subir,
A l’heure du dernier soupir, dernier soupir,
Si, des noyés, tel est le lot,
Je retourne me fiche à l’eau, me fiche à l’eau.

Chez ses parents, le lendemain, le lendemain,
J’ai couru demander sa main, d’mander sa main,
Mais comme je n’avais rien dans
La mienne, on m’a crié: « Va-t’en! », crié: « Va-t’en! »

On l’a livrée aux appétits, aux appétits
D’une espèce de mercanti, de mercanti,
Un vrai maroufle, un gros sac d’or,
Plus vieux qu’Hérode et que Nestor, et que Nestor.

Et depuis leurs noces j’attends, noces j’attends,
Le cœur sur des charbons ardents, charbons ardents,
Que la Faucheuse vienne cou-
-per l’herbe aux pieds de ce grigou, de ce grigou.

Quand ell’ sera veuve éploré’, veuve éploré’,
Après l’avoir bien enterré, bien enterré,
J’ai l’espérance qu’elle viendra
Faire sa niche entre mes bras, entre mes bras.. »

(Georges Brassens) « comme une soeur tête coupée »

…C’est comme ça monsieur le juge que tout a commencé.

pioupiou III, autre point de vue


détail et travelingue


détail

Imperturbable il poursuit son petit bonhomme le chemin.

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