Archive for the 'sur le teppaz' Category

Un peu de couture et un aria à la demande générale d’une lectrice fidèle…


Le tesson n’avait heureusement rien touché d’essentiel
(le docteur rassura tout de suite ma tante)
ce qui lui fit dire que ma soeur s’était vraiment bien amusée en vacances à Lubudi.
Ma mère n’apprécia pas:
Trois petits points de suture, et une tarte pour t’apprendre à jouer avec du verre, regarde ta robe maintenant!… et moi aussi, pour ne pas m’en être occupé, à tout hasard!


Découvrez Nino Rota!

Djang’eau Reinhardt ou Louise, il faut choisir.


Côté bronches bof!
à priori la force d’une feuille morte au vent et dans la tête un poisson rouge qui tourne de manière insistante avec la régularité d’un métronome… je l’appelle « bubulle » comme celui du Gaston de Franquin, cela me le rend plus sympathique et moins quelconque…
C’est la tactique du « jus d’eau », utiliser sa force pour l’anéantir.
… En attendant Leslie matait un catalogue de Friedlander, celui où Madonna, du temps qu’elle n’était encore que la Ciccone, posait pour l’objectif.
L’avait eu du flair, Lee, avec Louise, deux ou trois ans plus tard ça lui aurait coûté un os!


Découvrez Django Reinhardt!

Aucun Boeing sur mon transit…


Après avoir raté le premier transit vers Lubumbashi,
matabiche au « policier-de-la-douane-et-de-l’immigration »
Dans cette salle d’attente,
court moment de détente,
embarquement incessant,
féline,
elle remet de l’ordre dans tout ça,
la fatigue est là,
la grâce aussi.

« Aucun Boeing sur mon transit
Aucun bateau sous mon transat
Je cherche en vain la porte exacte
Je cherche en vain le mot exit
… »
(Serge Gainsbourg).
… magnéto Serge! « l’anamour »

La noyée.


C’est fou ce qu’on est influencé par des réminiscences.
On oubliera d’autres interprétations…
Et je laisse la parole à Serge.

« Tu t’en vas à la dérive
Sur la rivière du souvenir
Et moi, courant sur la rive,
Je te crie de revenir
Mais, lentement, tu t’éloignes
Et dans ma course éperdue,
Peu à peu, je te regagne
Un peu de terrain perdu.

De temps en temps, tu t’enfonces
Dans le liquide mouvant
Ou bien, frôlant quelques ronces,
Tu hésites et tu m’attends
En te cachant la figure
Dans ta robe retroussée,
De peur que ne te défigurent
Et la honte et les regrets.

Tu n’es plus qu’une pauvre épave,
Chienne crevée au fil de l’eau
Mais je reste ton esclave
Et plonge dans le ruisseau
Quand le souvenir s’arrête
Et l’océan de l’oubli,
Brisant nos cœurs et nos têtes,
A jamais, nous réunit. »

Pour l’original, magnéto Serge, doc. INA.

Restons dans les fleurs: aujourd’hui…


Dansons la capucine
Y a pas de pain chez nous
Y en a chez la voisine
Mais ce n’est pas pour nous
You!!! les petits cailloux
(… Et comprenne qui pourra).

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