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Les-carnests-plans (sic).

les-carnest-plan

Par une ruse à ma façon (expression chère à Brassens)
j’inventai et mis au point un mobile qui, à l’aide du vent, pouvait écrire et dessiner, sur une feuille glissée au bas de sa frêle structure…
Entre ciel et terre je recueillais ainsi de précieuses images des nuages.
Les résultats ne se firent pas attendre et bientôt j’exposais les dessins dans une galerie bien connue de la capitale.

Vive le vent!

‘mobile’’
‘mobile’’
mobile’
mobile
mobile’
d’une hauteur de plus ou moins 2 à 3 mètres,
… d’une envergure de 4 à 5 mètres
mobiles installés dans un jardin en Bourgogne.
Le plus grand bonheur était ce bruit des grandes toiles claquant au vent (peu se sont envolés) tandis que d’autres se balançaient furieusement autour de leur axe.
Vive le vent!
… et il y en eut! d’autres bonnes choses aussi.

La roue tourne.

grande roue, film.midi une
grande roue, film.midi.
grande roue, film.
… en vacances j’adorais les changements de plans.
Après la plage, la foire et peut être que ce soir nous irions au cinéma.
Zéro de conduite pendant ce mois, ou le troisième homme livrerait son secret sur la grande roue de Vienne.
clic « le troisième homme »

The show must go on… ou la lanterna magica.

Voilà-voilà-j’arrive!
…j’étais au fond du jardin
The show must go on…ou encore « cinéma paradiso » pour tout le monde
Retour aux images,
du chaud du froid
sur le ventre et sur le dos
Roulez jeunesse,
approchez! approchez! il y en aura pour tout le monde!
du mystère,
de l’émotion,
du rire,
des pleurs,
quelques frayeurs,
la vie quoi!
provisions de petites choses glanées çà et là, au petit bonheur.
Pour (re)commencer, dans un petit village Gaulois (air connu) du-bout-du-bout-du-monde, au fin fond des Landes, la joie d’avoir des films dans une vraie salle, une connection internet et des mojito’s après la projection (bon! les mojito’ ne sont pas obligatoires… un ti’punch fait aussi l’affaire!)
Le souvenir de ce cinéma au fin fond de l’Afrique où nous demandions au projectionniste de nous attendre dix minutes le temps de déposer les « courses » à la maison et de revenir dare-dare pour le film…
Souvenirs aussi de cette toile tendue au vent, en extérieur , pendant la saison sèche où l’on profitait de la fraîcher de la nuit pour nous faire Alan Ladd et Jack Palance dans « l’homme des vallées perdues »… inoubliable Shane, cowboy habillé de blanc et s’éloignant vers les collines après avoir tué Jack (de noir vêtu, comme ça on comprend…)
Mais non je ne raconte pas la fin! ho! vous alors!
clic pour  » l’homme des vallées perdues »
« >


La cabine de projection de Contis (Landes) pendant la projection de « Wall E »,
avec l’aimable autorisation (de filmer et de prendre des images) de la part de Betty et Rainer qui font tourner ce cinéma en passant un programme de qualité…
MERCI!
clic contis cinéma

comme un avion sans elle

dessin plus anim.

Au plafond, les pales du ventilateur se transformaient insensiblement.
La fièvre et le palu sans doute;
claquant des dents je remis une couverture,
insensé par trente degrés à l’ombre.
Sainte Quinine priez pour nous.

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