Archive for the 'lambeaux' Category

T’as pas lu?… Non j’ai l’palu.



Matin fébrile,
matin nivaquine…
Matin Ovomaltine.
La force d’une tartine,
petit déj. au lit…
* * *
Il n’y aura pas école aujourd’hui.

Vous y avez échappé… Forcément.


Heureusement que je ne me suis pas lancé dans la bande dessinée!…
En rangeant et fouilllant mes archives je suis retombé la dessus;
il n’empêche!
inspiré d’une nouvelle de B. Traven tirée du « visiteur du soir »,
titre éponyme, la nouvelle s’intitulait « Macario »…
L’histoire d’un bûcheron (pauvre forcément) qui doit nourrir toute sa petite famille
et dont la femme (belle forcément)
prépare le briquet pour sa longue journée de travail dans la forêt
(touffue et dense forcément)…
Macario y rencontrera un bonhomme maigre et étrange avec qui il partagera son repas car Macario était un homme bon.
… Dernier repas car c’est de la mort dont il s’agit (forcément)


Quelle génie cette Marguerite lorsqu’elle trouva cette phrase… Forcément.
. . .
(Rien à voir: ce soir sur la deuxième chaîne,
vers zéro heure cinquante,
« F comme Fairbanks » avec Patrick Dewaere passe…
Merveilleux acteur et hommage à l’autre « F »
… à voir par curiosité)

à part thé, tu reprendras du gâteau?



Il est dit qu’aujourd’hui je te fais un baiser
au creux du cou
au delà de la Manche…
Pour ce jour qui scande les années.
Combien de bougies?
vous ne le saurez pas…
J’aime toujours bien cette image de toi.
(pour Claire).

Autoportrait aux oripeaux.




Des fois, là,
je me sens las,
mais las…

Las, las, las.
* * *
(après le trip à Lukafu et les chutes de la Lofoï…
Tous les parfums d’arabie madame!)

Dans cette nuit débarrassée de toute chimère…



A l’image de ses grains de beauté,
sur son carnet de Moleskine,
elle compilait les étoiles
les unes après les autres;
elle savait qu’il ne reviendrait pas.

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