Archive for the 'photos' Category

sur les pas d’Anna K.


M’ennuyais, hier soir…
« Qu’est ce que je veux faire?
ch’ais pas quoi faire!
ta ligne de hanche
ma ligne de chance »
Vous l’avez compris,
me suis refais « Pierrot le fou »,
pas une ride ce film là!
Bebel en faux Michel Simon
Anna en Anna
Sa voix
la guerre du Vietnam à la main
la gueule bleue de l’autre derrière sa dynamite
coincer la bulle dans la chambre
se faire prendre en otage
danser aussi

M’ennuyais pu
sous le soleil e x a c t e m e n t !
Ah Anna!(neige!)


Le charme de JLG
envoyé par seryeuse

Coup de foudre.


Dans le cockpit du spoutnik, il bouffait ses crasses.
Une lampe clignota; vos stocks de Nic-Nac sont à 15%
inconscient du danger qu’il courait,
(en foutant des miettes partout)
il continuait de lire les aventures de son héroïne favorite.
(les commentaires le laissait pantois.)
Quel micmac se dit-il.
Un morceau infime s’immisça dans la commande du parachute…

Si vous avez l’impression que l’image clignote, consultez un spécialiste.

Aucun Boeing sur mon transit…


Après avoir raté le premier transit vers Lubumbashi,
matabiche au « policier-de-la-douane-et-de-l’immigration »
Dans cette salle d’attente,
court moment de détente,
embarquement incessant,
féline,
elle remet de l’ordre dans tout ça,
la fatigue est là,
la grâce aussi.

« Aucun Boeing sur mon transit
Aucun bateau sous mon transat
Je cherche en vain la porte exacte
Je cherche en vain le mot exit
… »
(Serge Gainsbourg).
… magnéto Serge! « l’anamour »

La noyée.


C’est fou ce qu’on est influencé par des réminiscences.
On oubliera d’autres interprétations…
Et je laisse la parole à Serge.

« Tu t’en vas à la dérive
Sur la rivière du souvenir
Et moi, courant sur la rive,
Je te crie de revenir
Mais, lentement, tu t’éloignes
Et dans ma course éperdue,
Peu à peu, je te regagne
Un peu de terrain perdu.

De temps en temps, tu t’enfonces
Dans le liquide mouvant
Ou bien, frôlant quelques ronces,
Tu hésites et tu m’attends
En te cachant la figure
Dans ta robe retroussée,
De peur que ne te défigurent
Et la honte et les regrets.

Tu n’es plus qu’une pauvre épave,
Chienne crevée au fil de l’eau
Mais je reste ton esclave
Et plonge dans le ruisseau
Quand le souvenir s’arrête
Et l’océan de l’oubli,
Brisant nos cœurs et nos têtes,
A jamais, nous réunit. »

Pour l’original, magnéto Serge, doc. INA.

Restons dans les fleurs: aujourd’hui…


Dansons la capucine
Y a pas de pain chez nous
Y en a chez la voisine
Mais ce n’est pas pour nous
You!!! les petits cailloux
(… Et comprenne qui pourra).

« Page précédentePage suivante »