Archive for the 'végétaux' Category

D’une écriture malhabile…


L’institutrice nous expliquait le muguet du mois de mai « au pays »,
au sortir de « l’hiver »,
au milieu du « printemps »,
et donc que c’était une belle idée de l’associer à cette fête des mères.
Saison sèche ou saison des pluies,
jours de douze heures, nuits pareilles,
noirs ou blancs…
à côté, ça avait l’air compliqué la Belgique,
l’Europe,
les conquistadors,
les cowboys…
Abstractions vers lesquelles nous allions…
* * *
Et nous, du fin fond de cette Afrique,
(qu’il nous faudrait quitter bientôt)
de recopier ce dessin,
sans comprendre…
Il y avait juste ce joli texte,
glissé à l’intérieur…
Où il faudrait ne pas faire de fautes.


« Les étoiles brilleront dans tes yeux… »
Voila, le pluriel du « Le étoiles » est corrigé
Je peux te le réciter…
Pouce sur la couture.
Il fait froid dans ton pays, du muguet,
mais tu restes ma chérie.

Un peu d’aventure…


Planqué dans cette petite salle du musée d’histoire naturelle d’Oackland je me fis un petit trip à travers les Rocheuse.
« Voui! rus et Flots sentaient les vagues »
(celle là, celui ou celle qui me la trouve, reçoit mon coup de chapeau et un carambar à la récré!)

Ou alors le foot…


Donne-moi une couleur entre 0 et 11 :
– Vendredi !
– T’es con c’est pas en Afrique !

Certains diront « il est fatigué en ce moment », d’autres ne s’en remettront pas…

Pluies acides.


Altération des conditions météorologiques dans les heures prochaines avec un retour aux éclaircies dès demain.

« Homard m’a tuer »… (sic) ajouterai-je.


Par un (habile) subterfuge j’avais détourné l’aquarium de sa vocation première:
débarrassé de ses poissons il me procura un périscope à l’envers.
La caméra bien calée au fond du bocal, je fis mes premières images sous l’eau (avec la complicité d’Evelyne)… Mon père allait sûrement me tuer quand il découvrirait, dans la baignoire au trois quart vide, les poissons rouges très préoccupés par la baisse des eaux: la bonde donnait de la bande, il est vrai.
Je ne vous dis pas le savon!…
Quitte à périr, je préfèrais la naïade.

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