Archive for the 'hotels' Category

Et ses mignonnes petites salières au dessus de ses clavicules.


J’aime le grain de sa peau.
Tellement, que je le conserve dans ce poivrier géant pour en saupoudrer les délicieux râgouts de nos souvenirs.
(texte emprunté à AppAS )

Capucine ?… Non.




Roquette ?… Lolorossa ?…Batavia ?…
Caroline ?
non ! Hortense !
ça y est, ça me revient, c’est Hortense !…
Si vous saviez comme elle est tendre !
Elle s’appelle Hortense.
Mais, je ne vous raconterai pas de salade,
il n’y a personne en ce moment,
elle a dû sortir faire des courses…

Drive in.

Hier soir avec ma copine on est allé au nouveau drive-in du coin
voir un documentaire sur Ténériffe…
Ensuite le programme passait une rétrospective
de différents films d’art et d’essai
d’un jeune cinéaste talentueux dont j’oublie le nom.
C’est là qu’elle m’avoua qu’il était son amant depuis six mois déjà.
. . .
« Dard et décès », me dis-je, en l’étranglant.
(Encore un petit conte cruel, court il est vrai ).

Dans ma cuisine Hitchcock tous les jours.


Ce Piet Huysentruyt ne me dit rien qui vaille…
Je suis terriblement inquiet pour la jeune fille.

Carte du Tendre de sa voie lactée (suite ).


.
Je réinventais les galaxies et le firmament
au gré des grains de beauté de Géraldine
(la route était longue et sinueuse,
parsemée d’embûches,
mais à coeur vaillant…)
Je n’hésitais pas à contourner la mer de l'(in)tranquilité
pour plonger dans les flammes du marbre de sa peau.
Viens y voir lui dis-je
explorant le nacré de ses hanches
l’anse de sa crique
Elle ne pouvait comprendre mes jeux de mots
(Américaine qu’elle était )
pour lui éviter le naevus breakdown
je lui tripatouillais le raphé
au risque de capoter
Petit moussaillon de l’US naevi
G.I. Joe sur le porte avion de son corps
j’avais en ma possession
toutes les cartes d’états majeurs
pour étudier le plan d’atterrissage.
. . .

. . .

« Page précédentePage suivante »