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Petite mémoire.


… Mais où avais-je la tête ?
faites moi penser à vous parler d’un truc demain…
. . .
(… Le visage à la fin est de F. par Thomas).

Un vangauguin.

Après cette semaine éprouvante qui fut la nôtre,
où nous tissâmes quelques liens,
il est temps maintenant de passer…
A l’homme !
souvenez vous, la semaine dernière c’était une dame qui ouvrait le bal…
J’avais promis à l’époque de faire toute la lumière
sur son pendant (sic) masculin
Et au risque de voir un commentateur
(que je ne nommerai pas, par pure charité chrétienne)
dire que j’arrondis les angles en me justifiant sans cesse…
Je dis, qu’il ose montrer, au grand jour, les pièces manquantes.

Car, malheureusement, manquantes elles le sont…
Malgré de nombreuses recherches (j’ai eu beau fouiller )
il m’est impossible de produire des documents
qui font mention de « ce » dont « on » parle tout le temps.
Quand je dis « ce », c’est bien sûr les pièces du dossier et
quand je dis « on », c’est de l’homme en général qu’il s’agit.

Si, d’aventure, vous aviez des justificatifs,
attestant de l’existence de ces objets,
(trois pièces suffisent )
vous me rendriez service.
Je serais disposé à les faire partager au plus grand nombre.

Vivi section.

Tel Merlin j’ai succombé aux charmes de Viviane,
et depuis ma tour de verre
agé maintenant de cent quarante-treize ans
je cherche où notre histoire a foiré.

« … Je n’ai pas eu vingt amours différentes dans ma vie.
Juste un seul.
Toujours le même, qui recommence à chaque fois.
C’est peut-être cela qu’on appelle la fidélité… »

(J. Lanzmann, parolier ).

La dactylo est amoureuse d’Ernest … Mais d’Eddy aussi.

« …Monsieur le Directeur
Sans même le savoir
De tous les hommes
Vous êtes le plus veinard
Vous avez des
(di bi di bi di bi di)
Dactylos Rock
(di bi di bi di bi di)
Elles sont les plus parfaites
Elles tapent en chantant à tue-tête
Woah !Be bop a lula !
(Be bop a lula !) »


Cher monsieur,
j’ai bien reçu votre très gentille missive …
(le reste est confidentiel bien sûr …)


En mettant mes chaussettes noires ce matin,
je repensais à çà:
la dactylo
n’a ni stylo
ni stabilo
sur son îlot.

Sur l’azerty de son « Hermès »
elle tape dans l’allégresse
Un mot tout doux,
à son pote Ernest
(petit voyou)
disant: « voyons, reste ! »

Elle s’entêta à lui tenir tête.


L’affaire tranchée elle s’en alla se doucher
De Judith je garde ce flou dans sa relation
à Old O’Phern un Irlandais du coin.

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