A bord, pas de hors-bord .


.

L’aqua-velva dans les yeux
et sur le corps
dans cette baie du même nom
Ondine était aux anges.

– Note l’atoll
fis-je à Anatole
en passant la « toll »,
c’est lagon, va !

D’abord au bord
puis bord à bord
à Bora-Bora,
point de vahiné en vue…
Pas d’bol !

Qu’à cela ne tienne,
buvons ce coquetèle
bleu de Curaçao !
– A la tienne, Etienne !

L’aimable commentateur(trice) aura à coeur de continuer ces digressions de mises, en cette période, à discrétion.

Migration.

Des fois,
devant ce temps,
et à cette époque,
je me sens l’âme migratrice.

Mettre les voiles
et du diesel
dans mon dromadaire.
Et partir,
loin.

La tempête de sable.


Rêves d’horizons
sécheresse annoncée
se perdant dans ces cieux.
(*)

ciel lavé et brillant
nuages en cavalcade
branches dénudées
(**)

(*)luc
(**)avec l’aimable autorisation de Madame de K.

Suite… D’hier.



Une mienne amie me faisait remarquer
que l’image d’hier ne bougeait pas beaucoup…
Alors voila… Flou, non ?

Fin de journée…


(Orchid.)

Le soleil fit un contre-jour à l’orchidée ;
au « Morning has broken » de Cat
je préférais penser à « sad Lisa » par Marianne

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