Archive for the 'collage' Category

Ubuntu m’a sauver (sic).


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Constipé de l’information et du partage il m’avait fait un Kafka nerveux.
Je veux parler de mon « Nordi ».
Si j’avais pu me douter de tout le tintouin et le ramdam de ce mois d’août maudit !?
C’est alors qu’un ami me fit découvrir Ubuntu (prononcer « Ouboun’tou »)…
Cette filière vernaculaire de Linux à laquelle je ne pigeais que pouic du reste
(moi et les chiffres vous savez ma bonne madame !
Alors encoder !…
Laisse moi rire et vas voir là haut si j’y suis).
Ubuntu viens d’un mot bantou signifiant « Humanité ».
Ubuntu signifie également « Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous »
C’est un peu comme si un vieil Africain entrait dans ta case et te disait
– Me voila petit Tom blanc…
Je vais regarder ta machine et lui faire de la magie
tu sais nous, en Afrique, on a des trucs…
Un peu comme ton Mac Gyver à la télé…
On répare les voitures avec de la ficelle (et du papier oui je sais ! Je t’en prie Anna )
et on met du savon mou pour colmater le cardan quand il a pété sur nos routes…
Vraiment !

Bref le vieux noir s’est penché sur mon Nordi…
Celui-ci le matait l’oeil méfiant
l’autre lui a mis un toast à cuire,
un dévédé marqué « UBUNTU » dans le lecteur cd si vous préférez
et voila mon p’tit bonhomme qui se faisant chatouiller les circuits,
les mémoires, les dossiers et même le clavier… (Mais là je vais trop loin…
Je ne dois pas oublier que des enfants et des d@mes lisent ces quelques lignes…) Donc, disais-je, voila que « Nordi » me restitue tous les dossiers, les images, les gifs, les vidéos de Rididine et de bien d’autres… (Si vous saviez) qu’il détenait en otage;
Moi qui ne suis pas croyant, j’ai filé au night-shop du coin acheter une bonne bouteille pour le bantou un peu sorcier… Et nous avons mesuré le zig et le zag des trottoirs plus tard dans la nuit.
En route Simone, passez muscade et vogue la galère, j’ai adopté Ubuntu !
Epilogue.
Nordi remarche comme au premier jour, nous nous disons des mots doux, nous fricotons des petites images ensemble, nous surfons même sur la toile à la recherche de nouveaux horizons.
Bon… Le vieux noir c’est des histoires, en réalité c’est un ami qui s’appelle Bernard, qui va bientôt être papa, et que je remercie encore ici pour ces longues heures passées au chevet de Nordi.

Pour une rentrée, c’est une rentrée !

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Dans un village, au sommet d’un coteau, un petit garçon regarde avec admiration les feux orange qui illuminent la vallée.
Un monsieur, de passage, s’approche de l’enfant et lui dit :
– Cela fait plaisir de voir un petit garçon aimer la nature.
Tu viens souvent admirer le coucher du soleil ?
– Ce n’est pas le coucher du soleil… C’est l’école qui brûle…
(emprunté à Pierre Doris).

Naissance d’une vocation.


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Rididine me demandait l’autre jour comment je pouvais inventer autant de petites choses pour faciliter la vie au quotidien et le ménage à la maison…
La réponse fut simple et lumineuse à la fois.
– Quand j’étais petit je me suis dit : plus tard je serai inventeur !
voila ce que je lui ai répondu à mon doux oiseau des îles !
(pas plus compliqué que ça !)
Elle m’enlaça dans ses bras et
(vous savez comment sont les femmes)
me fit parler.
Résister n’a jamais été mon fort (aurait dit Nelson)
après quelques semblants de « fausse modestie déguisée »
je lachais le morceau non sans en avoir profité (un peu) au passage.
Je lui fermai la bouche d’un baiser derrière l’oreille
(les femmes sont naïves aussi, parfois ).
Je lui contai z’alors (à Rididine voyons !)
comment cette vocation me tomba dessus ;
tout bêtement par la cheminée le jour de mes dix ans.
Quel merveilleux Noël, hors éphémérides, ce fut celui là !
cette boîte de « Meccano » dans son emballage…
Aaaah le beau cadeau !…
Ooooh la boîte !…
Et j’embrassai mes parents !…
Mais je vois l’heure qu’il est…
Je vous narrerai la suite un autre jour,
là je dois mettre au point un cylindre de cire
avec une mèche en coton au milieu qui devrait,
si mes calculs sont exacts,
éclairer les douces soirées d’été sous la tonnelle
et voir où sont ces ‘tains de glaçons.
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Pour vous faire patienter,
à la veille d’un long week end,
je vous invite à parcourir quelques plans et réalisations
concoctés dans le cadre de cet aimable blog
ces deux dernières années.
Soyez sages !
(mais pas trop non plus).
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Les inventions
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L’étoile du Sud
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Après les calculs, un peu de géographie.
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Vive le vent!
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Trois états.
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Datura; demain je me lance dans la couture.
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Les petites ondes.
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Zis-iz-bi-bi-ci oueurlde seurvice… Ze niouze ride baï Piteur Collins’ (I).



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Mappemonde de ces postes de radio…
Longitude allongée d’est en ouest
de gauche à droite
et latitude courte en trois bandes
de haut en bas…
Géographie plane des ondes qui,
au mépris de toute logique cartographique,
cherchait au gré de l’aiguille chuitante.
Allant d’un poste à l’autre,
découvrir de nouveaux morceaux de musique
ou chercher des interviews au fin fond du monde.
« Radio days » disait Woody…
Avec la suite des tops of the pops anglais…
Les Son of my Father et autre « get it on »
qui viendrait un an après « Telegram Sam »
de cette daube de T.Rex glam rockeur à la con
ou encore « Lieutenant pigeon » des Mouldy old dough
Ils ont de ces noms les anglo-saxons !
La physique ne passait pas,
la chimie non plus…
Mais la géographie…
ça oui !…
Mais j’y reviendrai
(demain ou un autre jour)
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En attendant écoute-moi çà…
Ce son, cette recherche de station ;
ce que le numérique ne nous donne plus.


Clic sur les images…
Elles sont en grand.
Enjoy !
(à suivre).

Not at all lui dis-je, ATOLL !!! (suite d’hier).


Complètement bourré il mit en doute l’existence de ce groupe d’îles dans le Pacifique
me défiant de lui en apporter les preuves
En exclusivité pour les fidèles lecteurs
voici une vue d’avion de l’atoll d’Honoluluc
lorsqu’on arrive en Lulucoptère par le Sud.
Harry Cot vient de perdre son pari
(et me doit un ti’punch de son meilleur rhum).

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