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Je ne m’en lasse pas.


à la demande générale de personne, petit plaisir doux amer.
« Si tu t’en irais,
Si tu m’laisserais seul au monde,
Des fois qu’t’aurais eu connu
Quelqu’un qu’t’aimerais encore mieux…

Si tu t’en irais,
Si tu serais plus ma blonde,
Si des fois tu m’aimerais plus
ah! qu’est ce que j’serais malheureux…

Car depuis le jour
Où tu m’as dit que
Tu m’aimais moi je
Suis fou de toi…

Et si des fois tu
M’aimerais plus autant
Y’aurais quequ’chose d’u-
sé au fond d’ moi.

Si tu t’en irais
Si t’abandonnerais ma vie
Si tu voudrais t’en aller
Dans les bras d’un autre coeur

Si tu t’en irais
Laissant nos âmes désunies
Si tu tenterais d’m’oublier
Je n’f’rais que verser des pleurs

Car depuis l’instant
De l’heure où nous fûmes
Amoureux moi j’hum-
ecte mes yeux

De joie mes larmes
Loin des alarmes
Coulant d’un charme
voluptueux

Je crois bien que j’mourirais
Si, un jour,
Tu t’en irais… »

Jean Yanne « si tu t’en irais »
Pour ceux qui ne connaissent pas l’air à défaut de grive ou de merle on se contente du contraire!
clic!

La pointe des maths: huit et huit font chaises.


Else est sur son 31
et moi aux anges,
il y a Albert qui lacère
et Else laisse ce frère,
faire.
(bon, je sors!).
« j’ai fantaisie » Bobby L.

Denner de rien.


Juste une petite flamme,
pétillante et bien sympathique qui,
dans sa danse, me fit songer à ses yeux.
Mais je laisse à Charles le soin, avec sa voix, d’en parler mieux que moi.
“Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie”.

Une histoire de cou.


… Elle était nerveuse à l’idée de le retrouver
qu’allait-il penser de cette pièce montée
une véritable pâtisserie!
Il aimait sa nuque,
endroit qu’elle avait décoré d’une petite étoile,
tatouée,
à la naissance du duvet
comme dans ce film d’Almodovar,
qu’ils avait vu ensemble… Moments volés…
juste pour lui,
son mari n’en saurait rien,
habitué au mêmes gestes depuis des années,
il était des territoires en friches
qu’il n’honorait plus depuis longtemps…
Labourant les mêmes terres.
« La bourrant, les « M’aime » taire? » pensa-t-elle.
Elle pariait sur une minute douze avant que John ne découvre la petite étoile,
souvenir de ce premier rendez vous au lac du même nom

Orage ou des espoirs?


Petit clin d’oeil au vent qui retroussa son jupon une journée comme celle là…
Si j’en ai profité?
no comment.
« …Dieu fass’ que ma complainte aille, tambour battant
Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps
Auxquels on a t’nu tête ensemble
Lui conter qu’un certain coup de foudre assassin
Dans le mill’ de mon cœur a laissé le dessin
D’un’ petit’ fleur qui lui ressemble ».

(G. Brassens: « l’orage »).

Pour le délit mocheune tu auras soins de copier ce lien:

* * *
ps (qui n’a rien à boire avec l’orage): il y a un peu plus d’un an je naissais dans le monde du blog avec cette citation:
« Sinon l’enfance, qu’y avait-il alors et qu’il n’y a plus?” (St John Perse).
et d’enchaîner avec un modeste « post » le 2 décembre, assez peu bavard je dois dire,
http://www.luclamy.net/blog/?m=200712&paged=5
Avec + ou – 80 % de moyenne, en nouveau billet,
que de chemin parcouru depuis… Grâce à vous, aussi.
Je voulais juste vous remercier de votre fidélité et de votre assiduité.
à demain?

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