Archive for the 'sons' Category

… En quelle apnée?

Published by luc on février 23, 2009 under bain, chevelure, correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, mouvement, photos, sons, sous l'eau, vidéos


Je me gorgeais de ses salières fugitivement aperçues…

(toute ressemblance…)

Published by luc on février 23, 2009 under correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., fragments, hotels, lambeaux, mouvement, photos, rapport au sol, sons, vidéos


« C’est toudi l’petit qu’on spotche »
(ou première leçon de Wallon)
Comme quoi on a jamais la paix!
(ou l’envahissement de la vie des petits par les grands…)
Moralité: il n’est jamais trottoir pour bien faire…
…
J’adore ces coq-à-l’ânes, hier c’était culture, aujourd’hui c’est confiture… C’est Bonnard!
et pour ceux que ça intéresserait, je pense à madame de K., évidemment…
dicos!
… Et une fable traduite

Ce qu’il y avait au dessus… (suite d’hier)

Published by luc on février 20, 2009 under correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, mouvement, rapport au sol, sons, vidéos


Fond.
Voix au loin.
Roulement de tambour.
Fouga magister ou mopette étranglée?
déflagration.
Calme.
Fond.
Je réécoute le son,
mais non,
suis-je bête,
je suis à Porto!
ça ne tient qu’à un fil, parfois.

Linge

Published by luc on février 18, 2009 under correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, mouvement, photos, rapport au sol, sons, super 8, vidéos


Toute affaire cessante rentrer pendant l’alerte,
ne plus bouger dessous la table
drapeaux, banières,
les trois croix katangaises,
linges au soleil,
les âmes posaient leurs ombres sur ce sol de latérite,
tout se confondait.
Ne pas moufter,
le fouga magister s’en tapait qu’on ne bouge pas.

Pleine lune au bout du doigt.

Published by luc on février 7, 2009 under correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, moisi, mouvement, rapport au sol, sons, sous l'eau, sur le teppaz, vidéos

Sur mon plancher le bol me jouait des tours,
la pleine lune dans l’après-midi.
Et s’il n’y avait pas que du Lapsang souchong dans ce thé? me dis-je.
Elle me tendait son petit visage lunaire et sa peau, qui n’avait pourtant pas la couleur du breuvage, ressemblait étrangement à cette faîence aux grains de beauté épars.

… une autre variante.CLIC!

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