Pareil à Stanley…
Pareil à Stanley je remonte « Congo une histoire »…
Il me remet en mémoire les propos de ma mère sur la traversée allant de la Belgique à Matadi où, les deux derniers jours, l’eau de l’océan de bleu-vert qu’elle était, se teintait d’ocre et de jaune, signe que l’on s’approchait du fleuve.
De fait, sur un rayon de huit-cents kilomètres, le fleuve se jette dans l’océan par une toute petite ouverture qui charrie des alluvions allant de troncs d’arbres dénudés à des touffes d’herbes…
Et dans ce bouquin il y a aussi…
Ah mince !
La sonnette !
Bougez pas,
j’arrive !