Archive for the 'mouvement' Category

D’où cette évaporation.


Flaques de lumière et d’eau
s’épousent un instant…
Douce évaporation des empreintes.

« C’est foulard » (Isadora Duncan).



à l’encan d’Isadora, je tente quelques images
avec un papillon de nuit
rencontré dans un bar louche la veille.
Je lui montre Loïe Fuller et,
en négatif,
voila l’imago qui lui vole la vedette.

21 juillet 1909.



Aujourd’hui c’est fêt’nat.
Ils vont encore gaspiller du fioul…
Alors qu’à pied c’était tellement plus rigolo.

Dans mon ti’ punch je vois de drôles de choses…



Juste une envie de me re-fiche à l’eau… Na!
* * *
je dois dire que je ne suis pas peu fier de ce billet
qui respire le farniente et le « rien faire » à plein nez:
mes (futurs) biographes se perdront en conjectures
diverses sur le sens de ce billet alors que mon seul
soucis fut de retrouver un citron vert pour faire copain
avec ce rhum et de glacer le verre.

Quand le coq, tôt, s’emmêle… (Suite si mineure).


… Avec la végétation qui avale nos deux héros, les questions restent entières sur le pourquoi du comment du rôle du père de Laura dans tout ceci.
Nos « z’amis » parviendront-ils à déjouer les plans (machiavéliques) du nain dansant, et à faire parler la « femme à la bûche » qui en sait plus qu’elle ne veut en dire sur Bob.
Est-ce que Teresa Banks, tuée par Leland sous l’influence de Bob, sera vengée?
Enfin qu’allait faire la sulfureuse Sherilyn (alias Audrey Horne) dans cette chambre du bordel au fond de la forêt?
… Et surtout que voulait dire cette phrase énigmatique de l’agent Dale, adressée à sa secrétaire (qu’on ne voit jamais): « Diane ce café est délicieux ».
Lynch ne renierait pas.

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