Archive for the 'végétaux' Category

La poussière comme encore collée aux semelles…



Dire que je suis heureux est en dessous de la vérité…
Ne pas le dire serait mentir.
Mais la joie n’empêche pas de voir la réalité…
Il me faut rentrer.
Des valises plein les yeux,
des balises dans les cieux,
le temps de déballer tout ça et je vous raconte ce vol intérieur
d’où l’on revient (pas tout à fait) lavé des scories du passé.

Au risque de me répéter…


En ’53 ma mère et sa soeur devisaient au bord de la piscine de Lubudi cependant que les marmousets en faisaient de belles à côté.
Combien de mères ne savent pas ce que leurs gosses peuvent vivre en dehors des passages cloutés…
Vu ce film à l’Arenberg l’autre soir, en compagnie de deux charmantes personnes,
à l’écran total… a>
Quelle belle découverte!…
Le film, pas les amies!…
Elles, je savais déjà.


Renseignements pris sur la toile,
le film existe en DVD,
si vous connaissez quelqu’un qui le possède,
volez-le lui.

Quand le coq, tôt, s’emmêle… (Suite si mineure).


… Avec la végétation qui avale nos deux héros, les questions restent entières sur le pourquoi du comment du rôle du père de Laura dans tout ceci.
Nos « z’amis » parviendront-ils à déjouer les plans (machiavéliques) du nain dansant, et à faire parler la « femme à la bûche » qui en sait plus qu’elle ne veut en dire sur Bob.
Est-ce que Teresa Banks, tuée par Leland sous l’influence de Bob, sera vengée?
Enfin qu’allait faire la sulfureuse Sherilyn (alias Audrey Horne) dans cette chambre du bordel au fond de la forêt?
… Et surtout que voulait dire cette phrase énigmatique de l’agent Dale, adressée à sa secrétaire (qu’on ne voit jamais): « Diane ce café est délicieux ».
Lynch ne renierait pas.

Comme dans un film de Charlot.


Au cinéma, j’ai toujours adoré le choix entre deux fins,
un peu comme dans « Brazil »,
avant le fameux « … Il nous a échappé! »
prétexte à toutes les interprétations,
au sortir de la salle.
Ici, je vous l’ai faite façon « les temps modernes »
Demain nous en aurons une autre
avec les mêmes acteurs,
mais il faudra revenir…
Promis?
…………………………………………………………………………..(à suivre).
ps: je trouve ce suspens insoutenable!

Dimanche c’était groseille chez les Le Quesnoy.



De retour de Kinshasa au matin,
pensez la chance de cueillir,
l’après midi même,
ces petites billes acides au fond du jardin.
* * *
— Pensez à ceux qui n’ont rien à manger…
— Comme ils ont de la chance !

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