Archive for the 'hotels' Category

Sophia Loren

Published by luc on janvier 11, 2008 under dessin, entre parenthèse (...etc.)., hotels, lambeaux, les carnets

Sophia Loren

entre parenthèse on ne voit qu’elle
celle du dessus?
ou celle du dessous?…

machine à écrire

Published by luc on décembre 30, 2007 under collage, fragments, hotels, les carnets, machines, photos, technique mixte

machine à écrire(détail).machine à écrire

hôtel Albert, Août ’64
ce doit être une fin de journée – la lumière est légèrement rousse – c’est peut être pour celà que Florence (la ville ou la fille?) m’a fait tellement d’effet la première fois

transit

Published by luc on décembre 27, 2007 under correspondance, E'ville fragments, hotels, photos

cat on the roof

toujours en transit à l’hôtel, Leslie et moi attendons notre correspondance pour Bujumbura.
Le petit chat nous rend visite.

c’est dur la vie de héros

Published by luc on décembre 25, 2007 under E'ville fragments, hotels, les carnets, photos

hotel Léo IIlulu a un petit vélo

c’est dur la vie de héros
le soir rentrer, mettre son flingue au vestiaire, le papillon à payer, la facture du ramoneur à régler et Leslie qui n’est pas encore rentrée!
Il n’y a rien à bouffer dans le frigo, il faudra encore aller au resto!

hôtel Albert

Published by luc on décembre 11, 2007 under dessin, E'ville fragments, gravure, hotels

chambre d’hotel

…Dans cette chambre de l’hôtel Albert nous attendions Leslie et moi le transit pour Bujumbura.
Le ventilateur en panne nous narguait de ses pales immobiles. Dans un coin de la pièce d’eau un cafard important et inutile nous surveillait de toutes ses antennes tandis qu’il grignotait un ongle sous le lavabo.
Plus loin un gecko albinos et paisible le reluquait…Lui son goûter était assuré.
Leslie rangea sa trousse de toilette et se replongea dans le « Cohen » sur le lit.
Manifestement elle me trompait avec « Solal des seigneurs ».
Je me mis sous la douche…Froide!
Le gecko se rapprochait de cette olive brune et frétillante trop occupée à surveiller les humains…
Il était quatre heure.

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