Devinette: qu’est ce qui fait toin-toin?
réponse: un tanard
vendredi matin, il était toujours vivant
« Sous un léger corsage qui fait des plis… »
(vous écouterez la suite, de ma part, chez Clémentine)
Et puis, c’est bien là ma contrariété de ce matin,
vous irez lire Lephauste ici,
je lui jalouse l’image des phasmes aux essuie-glaces
(ou comment face aux femmes je ne suis pas de glace, devrait-il dire…)
Les phasmes, que ne l’ai-je trouvé avant lui!
Grrr! ajouterai-je.
Planqué dans cette petite salle du musée d’histoire naturelle d’Oackland je me fis un petit trip à travers les Rocheuse.
« Voui! rus et Flots sentaient les vagues »
(celle là, celui ou celle qui me la trouve, reçoit mon coup de chapeau et un carambar à la récré!)
Le sourire de ma gosse ensauvage le bain d’un lavabo et la sève de son petit corps bouillonne dans l’écorce de mes mains jointes.
J’aurais transmis l’éternité si son ventre après le mien acquiesce.
Aujourd’hui je coince la bulle et rends hommage à Loïs de Murphy dont l’articulet me trotte dans la tête depuis l’autre jour, de façon lancinante, un peu comme ces chants venus d’Afrique du Nord
Pour voir et entendre, surtout, ‘TIHAR BAYATIN’ c’est là… Laissez vous envoûter par cette mélopée. Et merci à M. Assenmacker de m’avoir fait découvrir cette chose
On va s’en remettre une couche.
Justement hier soir je dinais avec des amis,
nous parlions du Japon (où ils iraient bientôt, les veinards),
de l’Espagne (nous étions dans un « Espagnol »)
et, il y avait, là, cette amie qui m’a fait découvrir Kevin & Carla…
« Hop-hop! » dirait Chronolog « petite anim’, et en avant la musique! »
ces deux loustics font croire à la légèreté des choses, tant le sol ressemble à une aimable surface savonneuse et l’aimant de leurs entrechats sont autant de rappels magnétiques pour ne pas se perdre de vue.
Elle, n’a pas son pareil pour glisser, fixe, transversalement au plan du sol.
Lui, reste caoutchouteux du pantalon (qu’il porte large) tant et si bien qu’il semble monté sur soufflerie. Bei Mir Bist Du Schon, please let me explain
Bei Mir Bist Du Schon, means you’re grand
Bei Mir Bist Du Schon, again I’ll explain
It means you’re the fairest in the la-a-a-and
…
I could say bella bella, even sir-ir wunderbar
Each language only helps me tell you how grand you are
I’ve tried to explain, Bei Mir Bist Du Schon
So kiss me and say you understand
on pardonnera la version un peu lente en se rappelant celle des Andrews sisters ou d’Ella Fitzgerald
Play it Sam ou magnéto Serge, selon!
Comme un écot à la terre,
battements telluriques et sourds,
peut être s’entendent-ils
à quarante ans d’écart;
rythme syncopé d’invocation de la pluie
… Manque d’eau dans mon seau.