Archive for the 'sons' Category
Published by luc on novembre 14, 2009
under correspondance, entre parenthèse (...etc.)., lambeaux, sons, vidéos
Le billet d’aujourd’hui me prend un peu plus de temps que prévu,
des choses compliquées à écrire,
des choses difficiles à décrire,
donc, petite digression du côté d’une personne
dont j’aimais beaucoup le travail.
Je viens de me le remettre en mémoire ce matin.
Enjoy « ils » ou « elles ».
Published by luc on novembre 6, 2009
under correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., lambeaux, Lubumbashi lambeaux, rapport au sol, sons, vidéos
Vais-je oser entrer?
la maison est en pleine transformation:
après palabre avec deux ouvriers que j’entourloupe avec mes pauvres preuves,
j’entre.
trois acquéreurs potentiels se sont disputés le bout de gras
celui qui a (r)emporté le morceau a le privilège de construire, en clôture, de hauts murs hérissés de tessons, il achèvera l’effet chateau-fort par un portail en fer cadenassé « abus »
excluant par la même occasion toute visite future et importune.
J’ai (vraiment) beaucoup de chance de pouvoir visiter ma boule à neige.
Ici, nous sommes à l’arrière,
la porte donnant dans l’ancienne buanderie
et à droite,
la petite fenêtre,
c’est « ma » chambre.
Je vous le fais façon western spaghetti pour le suspense.
* * *
J’oubliais (rien à voir avec ce que je viens de raconter) allez visiter dans les liens Anna de Sandre, Frédérique Martin, Lephauste et les autres qui font des échanges, tous les premiers vendredi du mois, dans le cadre des « vases communiquants ».
Commencez par là, tout y est expliqué.
Published by luc on novembre 5, 2009
under cinéma, correspondance, entre parenthèse (...etc.)., Lubumbashi lambeaux, rapport au sol, sons, végétaux, vidéos
C’est pas pour dire et me vanter,
dans la jungle (terrible jungle: air connu)
j’ai du mater de grands fauves.
Published by luc on novembre 4, 2009
under chevelure, correspondance, E'ville fragments, entre parenthèse (...etc.)., lambeaux, Lubumbashi lambeaux, sons, vidéos

Ce monsieur que vous ai présenté avant hier
et qui (se) raconte si bien,
nous parle de son grand père,
celui dont il a pris le nom à la zaïrisation…
Le père de sa mère celle qui, en bonne fille du village et de la paroisse,
rencontra le prêtre et le détourna du chemin de Dieu.
Je vous parle de ça dans les années ’20-’30…
Folles années.
Moderne pour l’époque!
le fils, à passé quatre vingts ans,
oscille entre le noir et le blanc
dans un métissage assumé depuis longtemps
chaque mot parlant une langue vraie,
point de bois dans sa bouche,
tirant les avantages culturels des deux communautés
dans son sang et dans sa tête
sans pour autant ignorer les défauts de chacune
une vraie leçon de tolérance
… D’humanité surtout…
Mais faut quand même pas lui marcher sur les pieds!
. . .
J’ai savouré chacunes de ses paroles et comme
« … Je ne fais voir mes organes procréateurs
A personne, excepté mes femmes et mes docteurs… »
(disait Georges) et que je rechigne à mettre ma tronche en pâture ici
j’ai usé d’un subterfuge, à ma façon,
pour contourner le problème.
Enjoy!
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