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Entre parenthèse (…etc.)


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Un p’tit truc comme ça,
en passant…
Toujours ce petit souci…
Rien de grave…
Enfin, j’dis ça… Mais.

Wait Hennessy se disait-il en s’en resservant un.

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Pour des techniques en dehors de la juridiction je me vois dans l’impossibilité de…
Mince ! Ils arrivent… Je dois vous laisser.

Mireille.

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Tige trop haute
son mètre quatre-vingt planté sur l’estrade
il s’intéressait à ce subtil mouvement de la craie dans sa paume gauche…
Craie qui lui laissait des traces sur la peau…
Traces qui ne viendraient jamais solutionner cette équation intégrale au tableau.
L’autre l’engueulait à présent.
– Jadot, vous êtes une pantoufle mon vieux !…
Un ignare…
Ignorantus, ignoranta, ignorantum !…
Scandait-il fier de son latin de théâtre.
Standaert pouvait le traiter de tous les noms
L’équation il s’en fichait
Sa silhouette dégingandée
de grand Duduche mal poussé
dodelinait vaguement
en pensant à Mireille
graminée dansante
en intégral sur la plage
l’été dernier…
L’inconnue c’était elle,
ce premier amour de seize ans
il voulait redevenir sable sous ses pieds.
L’autre n’avait qu’à la résoudre lui même
son équation à la con
(pour la rime)
si c’était si important
ce Gauss…
Revenir à son banc
s’étaler la tête entre ses bras croisés
et rêver…
Et que ce cours de math finisse !
Tige trop haute
son mètre quatre-vingt planté sur l’estrade
il s’intéressait à ce subtil mouvement de la craie dans sa paume gauche…
Craie qui lui laissait des traces sur la peau…
Traces qui ne viendraient jamais solutionner cette équation intégrale au tableau.
Non.
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Deux êtres merveilleux… Ou Cerise t’aime.

Ils étaient choux tous les deux,
c’était merveilleux !
Elle,
dans sa robe mousseline,
en était baba
lui
Bavarois
de vraies crèmes !
Ils dansèrent le merengué toute la nuit et quoique,
par un zeste déplacé il la troussa,
point de lardons ils n’eurent.
Ses bouquets garnis lui faisaient crépiter le millefeuille
– On est sur des saveurs sucrées-salées lui dit-il…
En un éclair, ch’uis chocolat de toi ! Ouvrons une pâtisserie !
– Oh oui ! ce magasin, ce sera Lenôtre Gaston, lui dit-elle,
arsouille !… Juste pour le jeu de mot !…
Couronnes d’ananas,
profiterolles,
bombes glacées,
cornets à la crème,
craquelins et cramiques,
tartes au sucre,
étaient leur quotidien.
La boutique tournait,
de la brioche il prenait,
elle s’empâtait aussi.
(Il faut le dire).
Un jour il s’amouracha d’une salamandre et la ganache retomba entre eux.
Le temps de décanter et de se dégorger le poireau ailleurs,
il partit à l’anglaise.
Cet oiseau sans tête dit à Charlotte de ne pas en faire un flan
qu’il reviendrait, que… Que… Mais souvent les hommes !
Elle,
dans la panade comme une quiche,
décantait pour clarifier.
Un zeste,
un seul,
aurait suffit à faire frémir à nouveau son petit cul de poule pourtant.
Elle mourut à l’étouffée sans nouvelles du misérable.
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(Piqué chez Myriam El T. via facebook).

J’ai faim moi… Pas vous ?

Plus sérieusement maintenant.

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Seuls quelques z’amis Suisses et deux ou trois autres habitants d’un petit royaume que je ne nommerai pas (tant je suis gêné, en ce moment, qu’il ne se gouverne plus…
Sachez seulement qu’il est situé outre Chti’land).
Avec tout ça j’ai oublié ce que je voulais dire…
Ah ! oui, ça me revient !…
Seuls ces quelques z’amis Suisses et Belges savent…
(Merttt’… Je l’ai dit !)
Propice à quelques délires entre personnes de belles compositions,
le reste de la planète va découvrir cet univers décalé ;
tu ne me remercieras jamais assez d’avoir découvert « Plonk et Replonk »
grâce au « blog à Luc ».
Pétage de rate assuré (en tout bien tout honneur)
la direction décline toute responsabilité…
Ce qui tombe sous le non-sense.
‘Videmment !
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