Archive for the 'photos' Category

Les mouettes sont des castors comme tout le monde. (Ne me demandez pas ce que veut dire ce titre, je n’en sais rien moi-même!)


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Les mouettes ne s’emmerdent jamais le dimanche
quand elles en ont marre elles jouent à bouée
et embêtent les voiliers qui passent
traçant un chemin fantaisiste vers la côte,
ou alors, elle jouent aussi à la Cigale…
(Philippe toi tu te mettras là
et Nestor à gauche…
Hervé tu fais la cigale enrouée,
Patrick ! Mieux que ça la « cigale enjoleuse » !
Gertrude, tu n’es pas attentive !)

Exclusivement !



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Deux des trop rares photos de mon ami Pluplu et de moi-même avant que les évènements…

Collages.



Marie-Cécile tu fais suer !
Je suis parti avec Plaisir
(tu sais ? Mon ami Camerounais !)
et on a discuté, toute la soirée,
avec Prudence, Constance et Parcimonie
(trois merveilleuses amies).
Constance (qui est arrivée plus tard) nous a raconté l’histoire de la mite qui dévore une veste en tweed dans un placard et qui, dégoûtée, en recrache un morceau en disant :
– Zut ! J’ai décidément horreur de la cuisine anglaise !…
Et me voila, certes un peu bourré mais…
Bon ! j’vais dormir moi !

Comme disait Pierre Dac :
” Le chemin le plus court d’un point à un autre est la ligne droite,
à condition que les deux points soient bien en face l’un de l’autre.”

Dernier portrait.

Inspire
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Litanie oscillatoire
Tic-tac respiratoire
Remonte à la nuit
Parle aux grands-parents
partis depuis longtemps déjà
Revenant au ventre de sa conception
Elle fait « son petit travail »
Balbutiant
Psalmodiant
Incantatoire
Chamanique
Occupée à…
Tranquille

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Cire froide
nécrose
mains roides
pouls absent
rides
crevasses
et ravins
s’organisent en dissymétries trompeuses
empêchant toute relation ;
ce visage calme
sévère
et contrarié
je ne le connais pas.
Je ne le reconnais plus.

Expire

Acompte de la maladie ?
Plus de crédit
larmes sèches désormais.
Larmes sèches.

Sixties… Ou petit hommage détourné à Tony C. avec l’aide amicale de Michaël Caine.


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Cette lampe me faisait penser à un film des années ’60 avec un Michaël Caine en héros roux-blond (ou blond-roux, selon, lui-même ne l’a jamais su )
habillé noir et blanc avec pantalons fuseaux trop courts,
chaussettes rouges sur (fausses) bottines santiags à élastiques
et polo à col Mao dans une matière se terminant par « cron »…
Dacron, Lycron, Micron, Chicron…
Un de ces trucs qui flèche dès que t’as un ongle pété et qui génèrait de magnifiques auréoles sous les bras…
Classe !
A l’arrière plan trois Rididines choucrouteuses blondes et brunes en mini-jupe rouge, jaune, bleu avec des bobottes-corsaires à hauts talons remontant au dessus les genoux… S’arrêtant sur un bout de cuisse avant le semblant (très léger) de vêtement du haut… Des blouses dans des matières tout aussi improbables que celles du héros…
Le décor, me direz-vous ?
Bah ! Une simple grotte avec au fond une fusée (atomique, bien sûr) en carton rouge et blanc, un échafaudage le long du flanc…
Des petites voitures électriques blanches emportent des savants et techniciens à l’air martial et important, fringués façon bibendums vers des destinations que seuls les scénaristes sous-payés connaissent… (Mais qu’ils le sont, sous-payés, on ne le saura pas )
Nous sommes cachés Michaël, les filles et moi dans une anfractuosité ombragée, attendant le moment propice pour intervenir et déjouer « leurs » plans machiavéliques et sombres.
Le projet ?
L’anéantissement de la planète voyons !
Il porte un nom aux initiales capitales séparées par des petits points… I.P.C.R.E.S.S.
ou O.S.S.117-B.A.N.C.O.C.K… Ou encore M.A.C.A.O.312
Enfin ! Un truc du genre quoi !…
Et leur chef carresse toujours un félidé sournois et angora.
C’est alors que mon amie
(Rididine si vous préférez, maintenant que vous la connaissez)
me tira de ma rêverie et par la manche pour me dire…
– On entre et on l’achète ?
Adorable Rididine !
Nous sommes entrés,
je ne peux rien lui refuser.

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