La cueillette du caoutchouc à l’ombre du beau baobab…


« Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D’aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté…

(C. Baudelaire, « l’invitation au voyage »).
Juste quelques larsens pour troubler l’image…
C’est qui cet Arsène pour déranger ma sieste?
et c’est qui ce pape qui remet en doute le couvert…
Tu as beau de l’air profiter,
il est un pneu gonflé, non?