Archive for the 'correspondance' Category
Published by luc on février 18, 2011
under acrylique, chevelure, correspondance, dessin, mouvement, photos
J’aime être impeccable…
(dixit une sauvage amie).
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Victor faisait sa palette
au zoo
Je lui ai pris
sans vergogne
la belle dame
pour l’emporter avec moi
et ne plus la lui rendre…
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(Victor Lejeune).
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Car de cette licorne
et de son trésor
je ne vous dirai mot.
Published by luc on février 17, 2011
under animatin gif, chevelure, correspondance, entre parenthèse (...etc.)., mouvement, rapport au sol
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Claire
obscure
pensait à Roland B.
qui disait :
“quand je me sais photographié,
je me transforme en image.”
Published by luc on février 16, 2011
under chevelure, correspondance, dessin, entre parenthèse (...etc.).

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Un p’tit truc comme ça,
en passant…
Toujours ce petit souci…
Rien de grave…
Enfin, j’dis ça… Mais.
Published by luc on février 15, 2011
under correspondance, entre parenthèse (...etc.).
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Pour des techniques en dehors de la juridiction je me vois dans l’impossibilité de…
Mince ! Ils arrivent… Je dois vous laisser.
Published by luc on février 14, 2011
under Cameroun, correspondance, entre parenthèse (...etc.).

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Tige trop haute
son mètre quatre-vingt planté sur l’estrade
il s’intéressait à ce subtil mouvement de la craie dans sa paume gauche…
Craie qui lui laissait des traces sur la peau…
Traces qui ne viendraient jamais solutionner cette équation intégrale au tableau.
L’autre l’engueulait à présent.
– Jadot, vous êtes une pantoufle mon vieux !…
Un ignare…
Ignorantus, ignoranta, ignorantum !…
Scandait-il fier de son latin de théâtre.
Standaert pouvait le traiter de tous les noms
L’équation il s’en fichait
Sa silhouette dégingandée
de grand Duduche mal poussé
dodelinait vaguement
en pensant à Mireille
graminée dansante
en intégral sur la plage
l’été dernier…
L’inconnue c’était elle,
ce premier amour de seize ans
il voulait redevenir sable sous ses pieds.
L’autre n’avait qu’à la résoudre lui même
son équation à la con
(pour la rime)
si c’était si important
ce Gauss…
Revenir à son banc
s’étaler la tête entre ses bras croisés
et rêver…
Et que ce cours de math finisse !
Tige trop haute
son mètre quatre-vingt planté sur l’estrade
il s’intéressait à ce subtil mouvement de la craie dans sa paume gauche…
Craie qui lui laissait des traces sur la peau…
Traces qui ne viendraient jamais solutionner cette équation intégrale au tableau.
Non.
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