« Petit Luron ».

Autant dire qu’Ilunga
était moyennement satisfait
par l’utilisation de son image
pour mettre en avant sa classe
de deuxième primaire
(au lycée Kiwélé)
qui avait gagné en nage libre
à la piscine d’Elisabethville.

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Vous reprendrez bien du thé ?

On m’avait dit que les Madeleines
ont des choses à voir
avec la littérature…
Soit !
… Et que les boudoirs
avaient aussi des choses à voir
avec la philosophie…
Moi, j’ai beau bouffer des biscuits,
je reste toujours aussi con qu’avant.
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(Sur une idée d’Alain V.C. et des images du Tampographe Sardon)

Et zob !… Le symbole des ingrats ce n’est point le serpent, c’est l’homme !


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Quoique la fable ci-après
ne soit pas tirée d’Esope
je ne résiste pas à l’envie
de vous mettre cette image…
(Doux temps du view master.

« >
Souviens-toi…)
J’ai retrouvé la magie de ces fables racontées avec ces délicieuses petites images…
Alors pour toi,
public fidèle,
voici
« L’HOMME ET LA COULEUVRE »
de l’ami Jean

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Un Homme vit une Couleuvre.
Ah ! méchante, dit-il, je m’en vais faire une œuvre
Agréable à tout l’univers.
À ces mots, l’animal pervers
(C’est le Serpent que je veux dire,
Et non l’Homme : on pourrait aisément s’y tromper),
A ces mots, le Serpent, se laissant attraper,
Est pris, mis en un sac , et, ce qui fut le pire,
On résolut sa mort, fût-il coupable ou non.
Afin de le payer toutefois de raison,
L’autre lui fit cette harangue :
Symbole des ingrats, être bon aux méchants,
C’est être sot, meurs donc : ta colère et tes dents
Ne me nuiront jamais. Le Serpent, en sa langue,
Reprit du mieux qu’il put : S’il fallait condamner
Tous les ingrats qui sont au monde,
A qui pourrait-on pardonner ?
Toi-même tu te fais ton procès. Je me fonde
Sur tes propres leçons ; jette les yeux sur toi.
Mes jours sont en tes mains, tranche-les : ta justice,
C’est ton utilité, ton plaisir, ton caprice ;
Selon ces lois, condamne-moi ;
Mais trouve bon qu’avec franchise
En mourant au moins je te dise
Que le symbole des ingrats
Ce n’est point le serpent, c’est l’homme. Ces paroles
Firent arrêter l’autre ; il recula d’un pas.
Enfin il repartit : Tes raisons sont frivoles :
Je pourrais décider, car ce droit m’appartient ;
Mais rapportons -nous-en. Soit fait, dit le Reptile.
Une Vache était là, l’on l’appelle, elle vient,
Le cas est proposé ; c’était chose facile :
Fallait-il pour cela, dit-elle, m’appeler ?
La Couleuvre a raison ; pourquoi dissimuler ?
Je nourris celui-ci depuis longues années ;
Il n’a sans mes bienfaits passé nulles journées ;
Tout n’est que pour lui seul ; mon lait et mes enfants
Le font à la maison revenir les mains pleines ;
Même j’ai rétabli sa santé, que les ans
Avaient altérée, et mes peines
Ont pour but son plaisir ainsi que son besoin.
Enfin me voilà vieille ; il me laisse en un coin
Sans herbe ; s’il voulait encor me laisser paître !
Mais je suis attachée ; et si j’eusse eu pour maître
Un serpent, eût-il su jamais pousser si loin
L’ingratitude ? Adieu : j’ai dit ce que je pense.
L’Homme tout étonné d’une telle sentence
Dit au Serpent : Faut-il croire ce qu’elle dit ?
C’est une radoteuse, elle a perdu l’esprit.
Croyons ce Bœuf. Croyons, dit la rampante bête.
Ainsi dit, ainsi fait. Le Bœuf vient à pas lents.
Quand il eut ruminé tout le cas en sa tête,
Il dit que du labeur des ans
Pour nous seuls il portait les soins les plus pesants,
Parcourant sans cesser ce long cercle de peines
Qui, revenant sur soi ramenait dans nos plaines
Ce que Cérès nous donne, et vend aux animaux.
Que cette suite de travaux
Pour récompense avait, de tous tant que nous sommes,
Force coups, peu de gré ; puis, quand il était vieux,
On croyait l’honorer chaque fois que les hommes
Achetaient de son sang l’indulgence des Dieux.
Ainsi parla le Bœuf. L’Homme dit : Faisons taire
Cet ennuyeux déclamateur ;
Il cherche de grands mots, et vient ici se faire,
Au lieu d’arbitre, accusateur.
Je le récuse aussi. L’arbre étant pris pour juge,
Ce fut bien pis encore. Il servait de refuge
Contre le chaud, la pluie, et la fureur des vents ;
Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs.
L’ombrage n’était pas le seul bien qu’il sût faire ;
Il courbait sous les fruits ; cependant pour salaire
Un rustre l’abattait, c’était là son loyer ;
Quoique pendant tout l’an libéral il nous donne
Ou des fleurs au Printemps, ou du fruit en Automne ;
L’ombre, l’été, l’hiver, les plaisirs du foyer.
Que ne l’émondait-on, sans prendre la cognée ?
De son tempérament il eût encor vécu.
L’Homme trouvant mauvais que l’on l’eût convaincu,
Voulut à toute force avoir cause gagnée.
Je suis bien bon, dit-il, d’écouter ces gens-là.
Du sac et du Serpent aussitôt il donna
Contre les murs, tant qu’il tua la bête.
On en use ainsi chez les grands.
La raison les offense ; ils se mettent en tête
Que tout est né pour eux, quadrupèdes, et gens,
Et serpents.
Si quelqu’un desserre les dents,
C’est un sot. J’en conviens. Mais que faut-il donc faire ?
Parler de loin ; ou bien se taire.
.
(La Fontaine).
.

Combat naval, cailloux, berbères et tartosuc sont les maîtres-mots du jour…

B-7
E-4
G-6
Croiseur coulé
deux coups dans l’eau…
Quoi encore ?
Vous voyez bien qu’on joue, non ?
A toi Pluplu.
.

.
Plus tard,
avec des potes,
nous irons jeter des cailloux
sur la tente du berbère.
.

.
Si ça vous dit ?
.
… Plus sérieusement,
je tourne autour du pot,
vers 16 h. il y aura de la tartosuc
dont je partage
(dans mon immense bonté)
la recette…
Du reste il existe des variantes…
Celle-ci reste un classique.
La plus célèbre est celle de Chaumont-Gistoux,
commune située dans un petit pays du Nord
sans gouvernement actuellement.
(Non, ce n’est pas le Lichtenstein…)
Légèrement tiède… (la tarte)
Tu mouriras (sic) de bonheur…
A température ambiante… Aussi !
Une mienne amie avait réclamé la recette,
à corps et à cris…
La pauvre était devenue une calamité pour le voisinage,
tant elle s’exprimait haut et fort…
J’ai du faire vite…
Les voisins me remercient encore.
Personnellement,
pour le fond,
j’utilise de la pâte légèrement briochée,
la cassonade je lui ajoute un (tout p’tit) peu de canelle
et je suis léger sur la crême fraîche…
Par contre le blanc d’oeuf reste indispensable !…
Pas trop monté en neige…
ça donne de jolis îlots qui recèlent des trésors de sucre dessous…
Et si tu as rajouté,
de façon espiègle,
quelques noix de bon beurre…
Tu me regarderas désormais
avec la reconnaissance du cocker, mon ami !
Mais chacun fait comme bon lui semble…
Après tout, les goûts et les couleurs…

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Je poste et répondrai au nombreux courrier d’hier dans la journée.

L’as de la gym.

L’humide de douche
puait le pied
la sueur refroidie…
Mâle attitude
Roy du trampoline
face de matamore
dieu du stade
il suintait
Sa Suffisance.
Sûr de ses quatre-membres-plus-un
(On s’attendait
à tout moment
a ce qu’il se rattrape
par la queue …)
Un jour
il lui demanda
de corriger sa rédac.
L’autre la tenait
… Sa vengeance.

.

(à la demande générale, je n’ai pas cherché trop longtemps une image ;o)

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