C’est, bien sûr, sous la menace que je fais ce billet… Sinon…
(Jane Evelyn Atwood : parloir d’une maison d’arrêt de femmes).
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Vous savez combien je rechigne à m’étendre sur ce genre de sujet,
mais un mien ami m’a fait parvenir
les prix que ces dames de la nuit
demandaient au début du siècle dernier et…
Mon dieu !
Comment vais-je tourner ce billet
sans que le rouge ne me monte au front ?
Donc,
je disais,
au début du siècle dernier…
Nos grands-parents n’étaient peut-être pas aussi sages,
qu’ils voulaient s’en donner l’air, après tout !
Force est de le constater,
ils avaient de ces petites coquineries qui,
quoique tarif-fées,
devaient valoir leur pesant de cacahuètes…
Pour ma part,
je crois que je ne regarderai plus jamais les mouches comme avant.
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Après recherche,
on finit par apprendre que,
Marcelle Lapompe est l’un des nombreux pseudonymes de Renée Dunan (1892-1936)…
Mais lisez plutôt ici la suite de l’histoire.