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Que faisiez-vous le 4 août 1938 ?


(copyright : Shorpy Higginbotham)
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August 4, 1938. Washington, D.C. « Miss Dorothy Parker has been selected as Miss Washington and will compete for the title of Miss America at the Atlantic City beauty pageant to be held during Labor Day week. 18 Years old, she weighs 112 pounds and is 5 feet, 4 inches in height. She is the daughter of Mr. and Mrs. C. Albert Parker of Washington. » Harris & Ewing glass negative.

Washington, DC « Miss Dorothy Parker a été sélectionnée en tant que Miss Washington et sera en compétition pour le titre de Miss America à la reconstitution historique de « l’Atlantique beauté » (j’aime bien l’inversion) de la ville qui aura lieu pendant la fête du travail ce week end.
Elle a18 ans, pèse £ 112 et mesure cinq pieds, quatre pouces.
Elle est la fille de M. et Mme C. Albert Parker de Washington.  »
négatif sur verre Harris & Ewing.

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… Mais vous l’aurez deviné, c’est bien de Rididine dont il s’agit,
pour ma part je ne vais pas tarder à la rejoindre pendant quelques jours
… D’ici là, je ferai quelques images à partager d’ici (très) peu de temps :
promis !… Ce ne sera pas (très) long.
En attendant, allez visiter le « blog-site » de Shorpy qui met en lignes des documents extraordinaires sur plaques de verres et compagnie, de l’Amérique profonde, celle d’avant…
Mais je vous laisse découvrir…
Pas radin pour deux sous, ils nous les fait partager en grands formats ce qui n’est pas fait pour me déplaire : enjoy !…
Soyez sages pendant ces quelques jours!

Teppaz, Lenco,Dual le connaissent bien.



… Il nous a suivi partout ce 25 cm.
Je laisse parler la pochette.
Django Reinhardt : « les yeux noirs »

La vie sur les îles n’est pas toujours tranquille.


(Peter Beard)
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Ce matin,
pendant que je travaille à de nouveaux projets,
j’ai une petite lourdeur à l’estomac.
(… Penser à nourrir le canari
et demander à Rididine de tenir en laisse Robert :
si son croco pouvait me lâcher la grappe,
j’avancerais plus facilement.
Est-il jouette quand même ?!!!)

Le Lulualo.


Bon ! évidemment ce n’est encore qu’un prototype mais !
Je suis sûr que l’idée va faire son chemin…
Ici, c’est mon ami Pluplu (dont je vous ai déjà parlé par ailleurs)
qui s’est amusé à l’essayer.
Je le laisse souvent faire ce genre de pitrerie car il adore.
Je retourne à mes plans :
il y a quelque chose qui cloche là dedans…

Le témoignage du principal intéressé :
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Mouaaaaaaahh! Si je m’en souviens! Il fallait enfiler ses jambes dans des sortes de bas en caoutchouc, l’extrémité palmée. De la plage, il suffisait de marcher un peu pour aller se mettre à l’eau!

Les essais en haute mer, ça été autre chose! Me suis retourné presque aussitôt, ma queue de poisson en l’air, très agitée pour cause que j’étais en train de me noyer! De loin on me prenait pour un requin : qu’est que j’en ai pris des harpons dans les cuisses, dans les mollets!!

Hé son Luc? T’as pas oublié de le talquer ton lulualo? Important! Bon, si tu as besoin de moi, hésite pas! Suis là!
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signé Pluplu.

Esthète de mes deux (suite et fin).


(Cla).
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D’ordinaire il élevait le niveau d’exigence intellectuelle,
n’hésitant pas à humilier tout être masculin dans l’entourage proche
au mépris des conventions de la bienséance pour se faire valoir.
Là, il était agenouillé auprès de la grande tige
(c’est dire s’il baissait la garde, vu sa taille)
éructant, il bavait ses pauvres mots d’amour,
si dénués de sens dans cette bouche.
Phrases de vieux Maoïste ayant lu Marx
ayant fait la Chine,
Cuba,
l’Algérie…
Dans le frisson des révolutions déjà finies.
– J’y étais, disait-il,
j’ai rencontré des révolutionnaires
nous avons fumé des cigares ensembles…
ils m’ont raconté,
qu’il lui murmurait à la Canadienne,
littéralement liquéfié en flaque d’amour…
Oscillant sans cesse
aux pieds de la thonet.
perdant toute pudeur du maintient
tenait pas l’alcool !
Baroud de la biroute…
Tentant son va-tout pour son cigare…

S’est reproduit deux fois
deux bides
Une grande gazelle auburn et décérébrée,
sympathique au demeurant (437 amis sur facebook)
et un navet amibiforme d’un mètre quatre-vingt,
doué sur les platines de dance-floor (1157 amis)
refusant tous deux l’exercice physique à part celui du pouce sur le portable ou le joy-stick
ils le toisaient toujours dubitatifs sur l’éventuelle filiation à ce roquet arrogant.
Z’avaient cliqué à tout hasard :
« Fan de l’homme descend du singe,
le singe descend de l’arbre,
vu ta gueule t’as du rater des branches.
 »
en pensant à lui.
Ils voyaient mal comment ce reproducteur démissionnaire avait ramené cette fille, du même âge qu’eux, à la maison.
Elle, un peu gênée d’avoir « craqué » pour ce vieux à la bite molle
qui dormait encore, sirotait son jus de pomme bio.
Tous trois prenaient leurs croissants dans ce loft
déserté depuis si longtemps.

– Cigare ! je vais être publiée, se dit-elle, John pourra me rejoindre…
On virera les deux crétins et on s’occupera du vieux plus tard :
des révolutions il vont en avoir !
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(ce texte fait suite au vases communiquants du mois de mai
quant à la photo, Rididine s’attaque aux orteils maintenant… pour petite racine qui, hier encore dans ses commentaires, insinuait que…)

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