Archive for the 'correspondance' Category

Combat naval, cailloux, berbères et tartosuc sont les maîtres-mots du jour…

B-7
E-4
G-6
Croiseur coulé
deux coups dans l’eau…
Quoi encore ?
Vous voyez bien qu’on joue, non ?
A toi Pluplu.
.

.
Plus tard,
avec des potes,
nous irons jeter des cailloux
sur la tente du berbère.
.

.
Si ça vous dit ?
.
… Plus sérieusement,
je tourne autour du pot,
vers 16 h. il y aura de la tartosuc
dont je partage
(dans mon immense bonté)
la recette…
Du reste il existe des variantes…
Celle-ci reste un classique.
La plus célèbre est celle de Chaumont-Gistoux,
commune située dans un petit pays du Nord
sans gouvernement actuellement.
(Non, ce n’est pas le Lichtenstein…)
Légèrement tiède… (la tarte)
Tu mouriras (sic) de bonheur…
A température ambiante… Aussi !
Une mienne amie avait réclamé la recette,
à corps et à cris…
La pauvre était devenue une calamité pour le voisinage,
tant elle s’exprimait haut et fort…
J’ai du faire vite…
Les voisins me remercient encore.
Personnellement,
pour le fond,
j’utilise de la pâte légèrement briochée,
la cassonade je lui ajoute un (tout p’tit) peu de canelle
et je suis léger sur la crême fraîche…
Par contre le blanc d’oeuf reste indispensable !…
Pas trop monté en neige…
ça donne de jolis îlots qui recèlent des trésors de sucre dessous…
Et si tu as rajouté,
de façon espiègle,
quelques noix de bon beurre…
Tu me regarderas désormais
avec la reconnaissance du cocker, mon ami !
Mais chacun fait comme bon lui semble…
Après tout, les goûts et les couleurs…

.

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Je poste et répondrai au nombreux courrier d’hier dans la journée.

L’as de la gym.

L’humide de douche
puait le pied
la sueur refroidie…
Mâle attitude
Roy du trampoline
face de matamore
dieu du stade
il suintait
Sa Suffisance.
Sûr de ses quatre-membres-plus-un
(On s’attendait
à tout moment
a ce qu’il se rattrape
par la queue …)
Un jour
il lui demanda
de corriger sa rédac.
L’autre la tenait
… Sa vengeance.

.

(à la demande générale, je n’ai pas cherché trop longtemps une image ;o)

Quand le 6,35 ne fait pas l’essieu doux…

La balle entra sous la côte
traversa les chairs
pour continuer sa route
vers l’arbre
où elle alla se ficher
profondément dans l’écorce.
Il n’avait rien senti,
ou presque,
trop occupé à courir
comme un dératé
soupçonnant
seulement
un point de côté.
Derrière la voiture avait fait
demi-tour…
Il quitta le couvert du bois
et bifurqua vers la ferme,
à travers la prairie.
Sa vue se brouillait…
La bagnole s’était arrêtée au bord du fossé,
empêtrés dans les barbelés d’abord,
les deux mecs lui couraient
de nouveau
après.
Dans la grange une moto…
Il enclencha le kick à tout hasard
et jaillit de l’autre côté du U
des bâtiments
vers le village.
Surprise des deux dingues de la gâchette.
L’odeur des champs
fraîchement coupés
se mélangeait à sa sueur…
.
– Coupez ! hurla le réalisateur dans son mégaphone…
On la refait…
Pas assez rapide !
.
.
.
.
.

La cérémonie…


La statue est toujours à la même place depuis que…
Non, ce n’est pas ça !…
La d@me avait demandé un Lapsang à Wispra,
hier,
pour patienter…
C’est dommage que ce n’est pas la recette du thé noir ô z’épices k’alle veut !!!
Mais je vous entends déjà, dans les alpages, me dire…
– La recette du thé noir Ô z’épices ?…
Koass que c’est ?…
Comment ça marche ?
– Alaure ouala !
« Le blog à luc » ne recule devant aucun sacrifice
et décide de divulguer
« le secret de la recette du thé noir Ô z’épices »,
et ce,
pour quatre à six personnes…
Donc :
1 litre d’eau (au puits) tu prendras
1 bâton de cannelle tu brandiras
3 clous de girofle seront cherchés
3 baies de poivre de la Jamaïque (c’est loin).
3 gousses de cardamome
(bonne chance à Auchan !)
… Pilée, j’ai dit, la cardamome !
15 ml (une cuillère à sn’oupe, quoi !) de thé noir.
Tu feras mijoter les épices dans l’eau cinq minutes,
et porteras à ébullition
puis tu verseras sur le thé
(dans une théière chÔde et bouillante…)
Tu
laisseras
infuser
encore
cinq
minutes…
Et
puis
après ?
boire
j’imagine.

.

(Sab.)
.
Il y a du vent sur le Genmaïcha.

Le surlendemain…

Il s’installa comme un pacha
devant le film du même nom
et se mît en devoir d’explorer ses fosses nasales distraitement
quand le téléphone sonna,
il décrocha,
mettant fin à ses recherches troglodytes.
– …’llo ?
– Ce qui m’inquiète c’est l’énergie que tu mets à m’inventer des histoires…
(‘core cet emmerdeur, se dit-il, reconnaissant la voix…)
L’autre continuait…
– A fuir la réalité…
Le corps a été repêché par la fluviale,
ce matin…
Tu peux m’expliquer pourquoi ce type n’est pas dans le béton ?
Je t’avais dit pourtant !


A ce stade, les éléments étaient en place,
Wispra débarrassait la table d’à côté,
il commanda un café
– ça a marché votre vernissage avant-hier soir ?
– Pas méconte, oui… De bons échos et peut être un article.
– Vous avez eu du monde ?
– Pas mal oui…
Elle en avait marre de cette vie de serveuse et des pourliches dérisoires.
– Vous écrivez ?
– Oui, enfin j’essaye… C’est pas mon vrai métier…
– c’est comme moi.
Il se replongea sur son clavier.
Elle alla mettre la pression dans la machine


Cette nuit lui revenait…
Il n’aurait pas dû sous-traiter avec le polak…
Lança l’enregistrement du film…
L’autre allait lui tenir la grappe,
il le sentait,
le menacer sans doute…

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