Le blog à Luc

11 Comments so far

1. Frederique M on juillet 22nd, 2009

   Les jalousies ! Un mot extraordinaire autour duquel je tourne depuis un bout de temps. Dites-moi Luc, ces jalousies-là sont-elles celles derrière lesquelles on trouvait hier déjà une mante religieuse ?

2. luc on juillet 22nd, 2009

   @ (perspicace) Frederique M: forcément, cela m’a inspiré…
   Quant aux jalousies je ne les supporte qu’à l’état de lamelles servant à diaphragmer la lumière trop intense des siestes pas toujours sages.O)

3. la dame on juillet 22nd, 2009

   Mais l’autre de la sieste pas toujours sage n’est-il pas jaloux de la jalousie ?

4. le rayon (vert) on juillet 22nd, 2009

   la dame pose une question pertinente.

5. Brigitte Mulet on juillet 22nd, 2009

   Tiens, tu n’as pas écrit les « dames » mais les « demoiselles ». Forcément du coup, il doit y avoir moins de « jalousie » :o)

6. zoë on juillet 22nd, 2009

   Il faut reconnaître la supériorité des jalousies sur les persiennes même persanes et des demoiselles sur les libellules, quoique ça se discute.

7. luc on juillet 22nd, 2009

   @la dame: l’autre n’a qu’à penser à ces deux vers.
   « La sombre jalousie, au teint pâle et livide,
   Suit d’un pas chancelant le soupçon qui la guide ».
   (Voltaire).
   @le rayon (vert): la dame en connait un bout sans doute…
   @Brigitte Mulet:… Parce que les “demoiselles” sont des libellules.http://fr.wikipedia.org/wiki/Zygoptera
   Je ferai prochainement un billet sur les « demoiselles bleues » qui, elles, sont des crevettes rencontrées dans un resto.O)
   @Zoë: voï-voï, voui-voui!… Le débat est lancé.

8. madame de K on juillet 23rd, 2009

   On peut aussi aimer son père à Sienne malgré la jalousie des demoiselles.

9. luc on juillet 23rd, 2009

   @madame de K: un zeste de trop et les demoiselles l’ont « ta mère! »;O)

10. demoiselle et jalousie on juillet 23rd, 2009

    C’est la demoiselle
    Marchant sur le ruisseau
    Qui t’a rendu bien malade.
    Elle t’a pris ton ombre, ton rire, ta joie.
    Et ne reviendra pas.

    Dans le grand silence.
    Des souvenirs perdus.
    Tu trembles et tu t’agites.
    Tu veux ton enfance, ton ombre, ta voix.
    Elles ne reviendront pas.

    C’est la demoiselle.
    Marchant sur le ruisseau.
    qui t’a rendu bien malade.
    elle t’a pris ton ombre, ton rire, ta voix.

    Mais qui te les rendra?

11. luc on juillet 23rd, 2009

    @demoiselle et jalousie: dis, il est beau ce texte… C’est de qui?
    Ah trop tard!
    trouvé!
    hé ben il est quand même bien!…
    Connaissais pas du tout…
    Pas dans mon répertoire…
    Comme quoi on apprend à tout age;o)